BOEING sauvé par une société de production vidéo

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Suite au rachat d'une société de prises de vues aériennes, Boeing a vu son chiffre d'affaire tomber en chute libre. En effet, si le marché paraissait très intéressant au moment du rachat, il s'est avéré que le principal opérateur de prises de vues aériennes (et ancien dirigeant de AirBuzz), avait une tendance particulièrement tenace à perdre les drones de prises de vues dans la nature.
Malgré un nombre en constante augmentation de commandes de prises de vues aériennes, Boeing a bien failli mettre la clé sous la porte, le rachat d'engins suite aux flyaway s'élevant à plus de 256 Millions d'euros.
D'après le directeur général : "le contrat qui nous liait avec l'ancien dirigeant de Airbuzz suite au rachat de la société nous obligeait à ne passer qu'exclusivement par lui pour nos prises de vues aériennes. Avec une moyenne de 2 tournages par jours, ça n'est pas moins de 400 drones qui ont disparus en moins de 8 mois. Avec un prix de revient aux alentours de 16000€HT je vous laisse faire le calcul. On a bien failli licencier tout le monde, moi compris !".
Et c'est face à ce désastre qu'une petite société de production basée à porte des Lilas, dans le Nord Est parisien, a décidé de reprendre les choses en main : avec un chèque d'une valeur de 1€ symbolique, elle s'offre une des compagnies anciennement les plus rentables du monde !
Le nouveau PDG témoigne : "je n'y connais rien en aviation, mais j'ai passé mon brevt théorique d'ULM et ça à l'air marrant, alors pourquoi pas !".
Et quand on l'intérroge sur ce fameux opérateur-flyaway : "Nous avons beaucoup travaillé ensemble dans le passé, ça ne me fait pas peur du tout. Je n'ai déjà vu finir un tour presque complet au parc de bagatelle, je suis sûr qu'il réussira rapidement à faire un tournage sans perdre de drone. Boeing va vite se mordre les doigts d'avoir vendu !"

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    il faisait sa grosse commission dans les pots de fleur C'est à Cessieres ce mardi 3 mars qu'un jeune homme de 22ans fût surpris par la gendarmerie qui faisait sa ronde, il était entrain de se soulager dans les pots de fleur de son quartier. Un jeune sans antécédents bien connut du village le maire a déclaré qu'il ne souhaitait pas engager de procédure judiciaire