La licence du Standard à nouveau remise en question
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Quelques jours avant la décision officielle (la confirmation ne sera actée que le 15 mai), le CBAS remet à nouveau la licence du Standard en doute.
A présent, ils s'appuient sur les capacités financières du club à pouvoir gérer le prochain exercice. En effet, suite à la crise économique traversée par le pays, deux des appuis financiers les plus solides du club liégeois sont contraints de couper, momentanément, les montants de sponsoring.
Ces deux établissements, bien connus de nos amis liégeois, sont en effet privés de clientèles par les mesures actuelles. Le fast-food " Happy Kebab", apprécié des supporters et des joueurs. On se souvient notamment de la visite d'Axel Witsel, avec toute la classe qu'on lui connait, en ce lieu afin de fêter son soulier d'or avec un supplément de viande. Mais aussi, une maison close de la rue Varin, le " Daerden ". A la demande du CBAS, cette enseigne est d'ailleurs sous la loupe des instances judiciaires. De gros soupçons planent sur le directeur du Standard, Bruno Venanzi, ce dernier étant suspecté de conflits d'intérêts. Il apparait que Mr Venanzi serait à la tête de ce bar, via une société externe, la " S.A.L.O.P.E. " et ceci afin d'octroyer des rentrées financières plus que nécessaire au club de son coeur.
Quoiqu'il en soit, voici à nouveau le Standard dans la tourmente. Le CBAS exige une clarification des responsabilités de Mr Venanzi, ainsi que des garanties financières pour les saisons à venir.
En plus d'Axel Witsel et de Marouane Fellaini qui, sous l'actionnariat d'une nouvelle société, encore une de plus, vont prêter quelques millions au Standard pour sortir la tête de l'eau, il y a fort à parier que d'autres personnalités viendront au secours du club de Sclessin.
Selon certaines infos, d'anciennes gloires du Standard (Thierry Pister, Roberto Bisconti et Alain Bettagno) seraient prêts à verser le montant qu'ils comptaient allouer à la communion de leurs enfants. Ces dernières étant annulées vu la situation sanitaire.
Une autre figure liégeoise pourrait aussi apporter sa pierre à l'édifice : Toni Rostini, patron d'une pizzeria le jour et humoriste la nuit. Dès que le confinement sera terminée, il compte reverser les bénéfices de son dernier spectacle afin de sauver le stade Maurice Dufrasne.
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