Nouvelle affaire pour Christophe Dettinger
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Une nouvelle affaire vient s'ajouter au feuilleton médiatique du «boxeur de CRS» de la passerelle Léopold-Sédar-Senghor. Après les convocations pour des faits de violences conjugales, des sources concordantes ont indiqué à l'AFP qu'il n'aurait pas remboursé les eux années de salaire qu'il a touché de 1999 à 2001 lorsqu'il suivait un cursus de philosophie en tant qu'élève normalien.
Ayant activement participé au club de boxe de la rue d'Ulm, c'est après deux années d'un cursus décrit comme «chaotique» par ses anciens camarades, que celui qui allait devenir «le Gitan de Massy» s’est totalement consacré à sa vraie passion dans la boxe. Reconversion bénéfique qui lui permit de remporter le championnat de France en catégorie «lourds-légers» successivement en 2007 et 2008.
Les élèves-fonctionnaires des écoles normales supérieures sont rémunérés par l’État et souscrive à une obligation de service de 10 ans. La question financière de «la pantoufle», surnom donné à la somme qui correspond à la somme à rembourser par le diplomé si il quitte la formation ou la fonction publique avant le délais fixé, est régulièrement soulevée. La Cour des Comptes soulignait en 2016 le «caractère incomplet» d'un certain nombre de dossiers. Un haut-fonctionnaire soulignant de manière anonyme : «la pantoufle n’est engageante que lorsque qu’on oubli de demander des disponibilités successives». Ces dernières années des mesures ont été annoncées pour mettre fin à cet état de fait.
En plus des affaires judiciaires le suivant, Christophe Dettinger est maintenant de le viseur de l'autorité de la haute fonction publique en charge des contrats décennaux. Un membre introduit de l’amicale des anciens normaliens souligne «étant donné l'invraissemblance de sa reprise d'étude, il est hors de question qu’aie lieue d'une action publique de soutien». Une affaire de plus pour l'ancien boxeur.
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