Le nouveau triangle des Bermudes ?

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Depuis plusieurs mois, les autorités lyonnaises reçoivent des rapports étranges de disparition temporaire d’usagers des voies urbaines empruntant le tunnel de Fourvière.

On peut lire dans ces documents des histoires qui s’apparenteraient à de la science-fiction pour certains. Des véhicules s’engouffreraient ainsi chaque jour dans le tunnel et n’en ressortiraient que de longues heures après sans motif rationnel.

Des enquêtes sont en cours et si, dans quelques cas, des situations d’accidents ou d’opérations escargot « à la française » ont pu apporter une explication, il reste un nombre affolant de cas non élucidés.

C’est le cas notamment pour cette automobiliste, Geneviève Laplaine - ndlr : les noms ont été volontairement modifiés pour respecter l’anonymat - qui a bien voulu témoigner de son expérience rocambolesque : « J’avoue que je ne comprends plus. Je rentre dans le tunnel aux alentours de 08 heures et quart et pour une raison qui m’échappe, je n’en sors que vers 11 heures passées. Personne ne veut me croire, je ne sais que faire. »

Chose étrange dans cette bizarrerie, il semblerait que ce phénomène, à la limite du paranormal, soit avéré en particulier pour certains types de véhicules. Notamment des Tiguan et des Mégane, pour n’en citer que les plus proéminents.

La communauté scientifique s’est empressée de se pencher sur la question et les premières conclusions nous font penser à une conjoncture topologique et climatique bien particulière qui vaut aujourd’hui à cette infrastructure bien connue des Lyonnais, le surnom de Tunnel des Bermudes.

A la manière de ce qui se passe au large de la Floride, l’explication pourrait venir de poches de méthane, créées par l’action des bactéries, piégées dans le sédiment sous forme solide, et qui, sous l’effet du réchauffement climatique, seraient libérées et génèreraient un phénomène d’aspiration qui ferait disparaître des éléments proches avant de les libérer à nouveau quand cette singularité s’essoufflerait. La question de la valence de ces gaz pour certains éléments reste cependant un mystère même si quelques illuminés avancent l’hypothèse que le méthane choisit tout simplement les véhicules dont l’appellation présente une consonance terminale en « ane » pour une harmonie sémantique que la science ne pourrait expliquer. Comme si cette situation peu commune ne pouvait se contenter d’une explication rigoureuse et qu’il fallait une once de poésie irrationnelle voulue par une alliance entre la nature et la mécanique au-delà des compréhensions intellectuelles.

Le professeur Alfred B. s’est à ce propos récemment fendu en pleine conférence de presse d’un énigmatique « Ben j’en sais rien moi. Let the police do the job et les moutons seront bien gardés.”

Une anomalie temporelle sans précédent dont la totale appréhension méritera encore des années de recherche sans doute.

En attendant la mairie de Lyon redouble de vigilance et encourage les usagers à favoriser le télétravail où à gratter l’inscription indiquant le modèle du véhicule des populations les plus à risque.

Jean Peuplu.

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    il faisait sa grosse commission dans les pots de fleur C'est à Cessieres ce mardi 3 mars qu'un jeune homme de 22ans fût surpris par la gendarmerie qui faisait sa ronde, il était entrain de se soulager dans les pots de fleur de son quartier. Un jeune sans antécédents bien connut du village le maire a déclaré qu'il ne souhaitait pas engager de procédure judiciaire