Pour son prochain film, James Cameron se tourne vers un écrivain Français !
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Devenu vegan à la suite de son fabuleux long métrage AVATAR, le réalisateur confirme son nouveau mode de vie avec cette annonce : « Quand j’ai tourné la dernière page de ce livre, j’avais déjà les premières images de mon prochain film en tête. »
Ce livre, c’est VEGAN PSYCHO de Freeric Huginn que nous avons eu la chance d’interviewer en exclusivité.
ATC - Comment avez-vous réagi lorsque vous avez appris cette nouvelle ?
Freeric - Je dois avouer qu’après avoir vu la Maison d’édition avec laquelle j’avais signé ce roman, mettre la clef sous la porte, je n’y croyais pas. J’ai failli raccrocher. J’ai pensé qu’un copain m’avait fait une méchante blague, jusqu’au jour de ma rencontre avec l’agent de communication et la signature du contrat.
ATC - Effectivement, ça parait tellement incroyable. Parlons un peu de votre livre que nous avons nous aussi découvert avec cette annonce. Qu’est-ce qui vous a poussé à l’écriture de ce thriller ?
Freeric - Dans tous les cas, je ne souhaitais pas écrire quelque chose de moralisateur, mais plutôt une histoire ludique où l’on apprendrait quand même des choses sur la réalité du traitement réservé aux animaux que l’on mange.
ATC - Après cette excellente nouvelle, avez-vous d’autres projets en tête ?
Freeric - Pour le moment, je travaille encore sur la sortie de mon prochain roman « Le secret du sexe déchu ». J’ai aussi d’autres idées qu’il me faut d’abord développer, mais désolé, je n’aime pas trop parler de ces choses-là avant de les avoir bouclé.
ATC - Quel passage de Vegan psycho aimeriez-vous partager, ici, avec nous ?
Freeric - Celui du porcelet, qu’en pensez-vous ?
ATC - Le choix était compliqué, mais excellent choix.
Extrait de Vegan Psycho : « [...] tandis que le bourreau approchait le couteau affûté de ses bijoux de famille, et entamait la chair de son scrotum de bas en haut, Georges hurla à s’en arracher les poumons tel un damné aux enfers aux prises avec mille démons. Cependant, il n’était pas au bout de son calvaire. Le sadique tournait d’ores et déjà un testicule libéré de son écrin à plusieurs reprises sur lui-même et, après avoir pris le temps de gratter avec soin le vaisseau sanguin entortillé de l’organe, l’en détacha de l’ensemble. Et le problème avec ces petites choses-là, c’est qu’elles ne vadrouillent pas souvent seules... [...] »
Pour finir cet article, et à moins que vous ne préfériez attendre la sortie du film, nous vous conseillons vivement de lire ce thriller palpitant à bien des égards.
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