L’Ordre des Clowns Professionnels de Belgique, fait citer à comparaître tous les membres du gouvernement, pour plagiat et concurrence déloyale !

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Pierre Nerveux vient à peine de succéder ad interim au Maître Jeroen Zacht à la Vice-Présidence de l'Ordre des Clowns Professionnels de Belgique, qu'une affaire un peu reluisante atterrit sur son bureau. Une plainte contre le Gouvernement Wilmés, pour concurrence déloyale, plagiat afin de nuire à l’image la profession.
Le gouvernement se cache derrière ses pouvoirs spéciaux pour éviter ce scandale d’État. La population connaît très bien les petits trucages, des effets de manche, langue de bois de ce gouvernement, mais depuis un moment, il apparaît que les scénarios sont pratiquement des copier-coller de ces artistes de cirque ou de rue, mais transposés à une échelle de réalité d’économie mondiale. Bien que convaincus de leurs différences idéologiques avec les membres du gouvernement, leur cause juridique, aujourd’hui n’est pas celle-là. Ils s’attaquent à la lutte des classes qui permet à des usurpateurs d’user d’une noble discipline de scène. Celle-ci détournée à des fins ultra-libérables et liberticides. De plus, l’Ordre des Clowns Professionnels de Belgique, déclare qu’il s’agit d’utilisation irrégulière de leur art en appliquant des tarifications jamais observées auparavant. Pendant que beaucoup de ces tendres artistes, ont du mal à finir leurs fins de mois pour un travail intense, les membres du gouvernement eux, se goinfrent en se faisant payer des prestations comparativement faramineuse, et cela, sur le dos des contribuables. Grâce à l’asservissement des média main stream, ils ne se cachent plus. Qui plus est, c’est en pleine lumière que l'exécutif, cette association de clowns farceurs projète de détruire tout ce qui est beau en ce monde. L’avocat des plaignants déclarait ce midi à la sortie des chambres de concertations que rien qu’avec les indemnités limitées à la période de confinement, l’État serait redevable d’une compensation d’un milliard d’euros ! Le fait que les clowns n’aient plus pu pratiquer leur art en étant payé depuis le début du confinement, a été la véritable étincelle dans cette affaire. Une interdiction de pratiquer imposée par un gouvernement qui lui en use à tous les instants, est d’une désolante injustice. Un abus de pouvoir flagrant qui n’arrange pas la cote de popularité de ces élus berlus décomplexés.
« Une bande guignols ! » Voici ce que déclarait un des clowns manifestant devant le 16, rue de la Loi, cette après-midi. Une manifestation était orchestrée par l’OCPB qui réunissait différents professionnels du cirque, de la scène et de la rue. Cette parole malheureuse a suscité un émoi certain au sein de la CMC, Conseil de Marionnettistes Comiques. Du coup, Pierre Nerveux, a tenté d’étouffer cette graine de discorde en pointant encore qui étaient les vrais ennemis des arts.
“Quand j’étais jeune, je voulais être ministre ou clown. J’ai choisi la deuxième option, car je suis un garçon sérieux.” C’est en paraphrasant Sim, cet acteur incomparable que Pierre Nerveux a réussi à fédérer toutes ces professions qu’on oublie être de vrais métiers.
On attend toujours la réaction de la Première pendant que toute la Troupe du Gouvernement a déjà fait une panoplie de déclarations aussi indignes que farfelues.
(J. Grimaldi)

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    il faisait sa grosse commission dans les pots de fleur C'est à Cessieres ce mardi 3 mars qu'un jeune homme de 22ans fût surpris par la gendarmerie qui faisait sa ronde, il était entrain de se soulager dans les pots de fleur de son quartier. Un jeune sans antécédents bien connut du village le maire a déclaré qu'il ne souhaitait pas engager de procédure judiciaire